mardi 24 mai 2016

L' Ortie la plante qui soigne les plantes

L' Ortie la plante qui soigne les plantes

L' ortie (Urtica dioica) est employée en tant que préparation dans la lutte biologique contre les parasites mais aussi pou favoriser la croissance végétal. Différentes préparations sont possible :
  1. L' extrait de 24 h.
Prendre 1 kg d' Ortie fraîches en fleur ou non mais pas au stade de graine, mettre dans un récipient,
recouvrir de 10 litres d' eau et on laisse reposer 24 h. On utilise cette préparation filtrer après 24 h en pulvérisation pour lutter contre les vers et les chenilles en pulvérisant à trois reprises dans un intervalle de quelques heures.
  1. Le purin d'ortie pour stimuler la croissance des végétaux.
On commence comme indiquer ci-dessus. Le liquide reste à reposer jusqu'à ce que les feuilles soient décomposées. Après quelques jours l'odeur et proche des purins animaux.
Ce purin à un effet puissant sur la croissance. On mélange 1 litre de ce purin pour 9 litres d'eau pour une pulvérisation au sol et 1 litre de purin pour 40 litres d'eau pour arroser les plantes le soir ou tôt le matin. L' expérience montre que sur les Rosiers, les arbustes à petits fruits, les arbres fruitiers, après une triple pulvérisation, la circulation des sèves est relancée et les pucerons ainsi que les champignons disparaissent.

  1. Stimulation pour les légumes du potager.
    L'élaboration de ce purin correspond à la recette n°2, seule la dilution est plus importante
    on utilise ¼ de litre de purin dans 10 litre d' eau pour arroser les culture. Ou ½ litre de purin dans 10 litres d' eau, ce mélange sera finement pulvériser sur les cultures du potager.
  2. Compost d' Orties
    Un compost élaboré seulement à base d'Orties donne une excellente terre pour la production de plants primeurs et pour les Rosiers et Fraisiers. 

jeudi 5 février 2015

LE VERGER AU RYTHME DES SAISONS: Histoire d'humeurs ou d'humus ?

LE VERGER AU RYTHME DES SAISONS: Histoire d'humeurs ou d'humus ?: Histoire d'humeurs ou d'humus ? A l'attention de Monsieur compost. De l'importance de la nature du sol dans la croiss...

Histoire d'humeurs ou d'humus ?

Histoire d'humeurs ou d'humus ?

A l'attention de Monsieur compost. De l'importance de la nature du sol dans la croissance des végétaux.


Extrait de la collection Hippocratique.

  • «1. La terre a en elle même des sucs (dunamis) de toute nature et innombrables. Elle fournit à chaque végétal l'humeur (ikmas) conforme, celle qui possède congénitalement semblable à lui même, et chacun tire de la terre sa nourriture selon sa nature propre. En effet, le rosier tire de la terre l'humeur qui lui est conforme et l'ail tire de la terre l'humeur qui correspond à sa qualité propre; tous les autres végétaux tirent de la terre selon leur nature. S'il n'en était pas ainsi, les végétaux ne deviendraient pas semblable a leur graine.

  • 2. Si le végétal trouve dans la terre l'humeur apparentée en quantité beaucoup plus grande qu'il ne lui faut, il devient malade; s'il en trouve moins qu'il ne convient, il se dessèche. Mais si la terre ne contient pas du tout l'humeur apparentée que le végétal doit tirer, il ne pourrait même pas germer. On peut se convaincre que le végétal, s'il ne trouve pas son humeur naturelle, ne germe pas du tout. En effet, l'Ionie et le Péloponnèse ne sont pas très mal situés pour le soleil et les saisons, et le soleil peut y suffire aux plantes.

  • 3. Et pourtant, malgré beaucoup de tentatives, il n'a pas été possible de faire pousser le sylphion (le Cèdre) ni en Ionie ni dans les Péloponnèse, alors qu'en Lybie, il pousse tout seul: c'est que ne se trouve en Ionie ni dans les Péloponnèse l'humeur capable de le nourrir.Il y a beaucoup d'autres plantes médicinales que certaines régions ne peuvent nourrir alors que le soleil y est suffisant, et que d'autres font pousser spontanément; on peut s'en rendre compte par la remarque suivante. Deux terrains fort voisins différent pour la douceur du vin alors que le soleil y suffit également : c'est que l'un possède l'humeur qui rendra le vin doux, l'autre non.

  • 4. Il y a dans tel terrain bon nombre de plante sauvages qui, déplacées d'une orgyie (unité de mesure antique, correspond à 1,78m), ne poussent plus: c'est que ce terrain ne fournit plus au végétal transplanté l'humeur que le premier fournissait aux plantes sauvages. Les végétaux ont des humeurs, plus acres ou plus humides ou plus douces ou plus sèches ou plus âpres et d'innombrables autres, car la terre contient des sucs innombrables et c'est à cause de ces catégories qu'aucun végétal ne poussa à l’origine semblable à un autre si ce n'est à l'intérieur d'une espèce.

  • 5 . Et je crois que tous étaient sauvages, mais que les hommes les ont cultivés et en les travaillant, leur ont fait donner des fruits, chacun selon sa graine. Car l'humeur tire de la terre l'humeur semblable et, grâce à elle, la plante se développe et se nourrit; aucune espèce de plante n'est semblable à une autre, puisqu'elle ne tire de la terre une humeur ni identique ni semblable. Chaque plante utilisée comme aliment ou boisson tire de la terre des sucs nombreux et en chacun, il y a quelque chose de pituiteux (d'une manière traînante) et de sanguin.»


samedi 8 novembre 2014

Rien ne s’arrête jamais dans les jardins. Glorifiez le jardinier qui est en vous ?

 Rien ne s’arrête jamais dans les jardins. Glorifiez le jardinier qui est en vous ?


Oui, en novembre il faut retourner le sol et l'ameublir.
Prendre la terre à pleine bêches, c'est une sensation aussi appétissante et gastronomique que de prendre la nourriture à pleine louches ou à pleine cuillères. La bonne terre, comme la bonne nourriture, ne doit être ni trop grasse, ni trop lourde, ni trop froide, ni trop humide, ni trop sèche, ni
trop gluante, ni trop dure, ni trop crue : elle doit être comme du pain, ou du pain d'épices, comme un gâteau, comme une pâte levée ; elle doit s’émietter mais non pas se dissoudre ; elle ne doit pas former des blocs ni des mottes, mais quand vous la retournez à pleines bêches, elle a loisir de respirer et de se répandre en petits grumeaux et en grains de gruau. Et alors, ce sera une terre appétissante et comestible, cultivée et loyale, une terre profonde et tiède, perméable, aérée et tendre, bref, une terre bonne comme on dit de certains hommes qu'ils sont bons ; et dans cette vallée de larmes, il n'y a rien de meilleur, comme on le sait.
         Sache homme jardinier, que durant ces journées d'automne, on peut encore transplanter. Pour cela il faut commencer par creuser avec la bêche, autour de l'arbuste ou de l'arbre, un trou, le plus profond possible : puis, on enfonce la bêche par-dessous et on appuie sur le manche, ce qui a d'ordinaire pour résultat de casser ledit manche en deux.
         Il y a des gens, les critiques en particulier, et aussi les orateurs publics, qui aiment bien parler de racines ; ils proclament, par exemple, que nous devons retourner à nos racines, ou que tel ou tel mal doit être déraciner complètement, ou bien qu'il nous faut pénétrer jusqu'aux racines de quelque problème. Eh bien, je serais heureux de les voir, s'il leur fallait déraciner, disons un cognassier de trois ans. Je voudrais voir M. J.Louis pénétrer jusque dans les racines d'un arbuste même tout petit, un ruscus, par exemple. Je souhaiterais observer M.Pierre occupé à déraciner mettons un vieux peuplier. Je pense qu’après de longs efforts ils se mettraient debout, s'étireraient et ne prononceraient qu'un mot. Et je te donne ma tête à couper que mot serait : «Sacredié ! » J' en ai fait l'épreuve avec des cydonias et je confirme que travailler sur les racines est chose fort pénible et qu'il vaut mieux laisser les racines ou elles sont. : elles savent bien pourquoi elles veulent aller si profond ; je dirais volontiers qu'elles ne tiennent pas à l'attention que nous avons pour elles. Il vaut mieux quitter les racines et se mettre à amender la terre.
       Oui, amender la terre. C'est quand on nous l’amène un jour de gel, fumant comme le bûcher d'un holocauste, qu'un tas de fumier est le plus beau. Et lorsque son fumet parvient au ciel , il chatouille l'odorat de Celui qui comprend tout et Celui la dit : « Ah, ah, voilà un jolie petit fumier ! »
       Nous aurions ici l'occasion de parler du cours mystérieux de la vie : un cheval mange de l'avoine et il envoie le résidu aux œillets et aux roses, qui, l'année suivante, glorifieront Dieu de leur parfum, si agréable qu'il ne peut pas se décrire. Eh bien, c'est ce parfum que le jardinier sent par avance dans ce tas de fumier fumant mêlé de paille : il renifle d'un air gourmand et il distribue attentivement ce dont de Dieu à tout son jardin, comme qui étend de la confiture sur du pain pour donner à un enfant. « Tiens, petite fleur, et bon appétit. A vous, Madame Herriot, je te donnerai un gros tas en récompense des jolies fleurs bronzées que vous eûtes ; et à toi, phlox impétueux, je te ferai un lit avec cette paille grise. »
Pourquoi serrez-vous le nez, braves gens ? Trouveriez-vous que ça ne sent pas bon ?


« Extrait de l'année du jardinier de Karel Capek »





dimanche 24 août 2014

PETITE SYNTHÈSE SUR LE VERGER FAMILIAL

                                        PETITE SYNTHÈSE SUR LE VERGER FAMILIAL
           



    Comme son nom l'indique, le verger familial pourrait être assimilé à un espace de culture d'arbres fruitiers, réservé à la famille. Il a toutefois, un rôle beaucoup plus profond que le simple
fait de produire des fruits. L'étude des caractéristiques de ces vergers et de leur utilités, au fil des générations, montre bien qu'ils s'adaptent en permanence à nos modes de vie et à leurs évolutions.
En effet, les vergers d'antan permettaient à la famille d'assurer une production de fruit de bouche, de conserves, de confitures et de distillations. L'herbe servait également de production fourragère pour les animaux. Les herbes aromatiques et médicinales sauvages y étaient aussi récoltés. S'ils apportaient, sans aucun doute, un complément alimentaire à la famille, il y a deux, voire trois générations, l'apport sur le plan gastronomique est plus discutable de nos jours. Ces vergers jouent, par contre, un rôle patrimonial, paysager, esthétique et écologique beaucoup plus important. De ce fait, l'espace verger est devenu un aménagement paysager, au moins pour ceux qui jouxtent les habitations. Il est mieux entretenu, les tailles sont plus régulières, un suivi phytosanitaire y est effectué et la fauche plus régulière s'est mécanisée pour transformer le pré, en gazon.
       L'évolution, mais surtout la diminution du nombre croisant de vergers familiaux, est liée à de multiples facteurs: D'abord économiques, et, qui on fait passer notre société, de l'auto- consommation vers une société de consommation, le tout, accompagné d'une standardisation du goût. L'offre variétale s'est diversifiée et s'est affranchie de la dépendance aux saisons. Pommes, poires, fruits exotiques, mais aussi légumes de toutes les latitudes garnissent les étals toute l'année et concurrencent, par le simple fait de leur présence, les productions locales. L'évolution de la structure familiale est également un facteur aggravent, (éloignement parent-enfants, travail à la ville, travail des parents). Les contraintes qui empêchent le verger familial d’être présent sont également liée: à la pression immobilière pour la construction du bâti, lotissement... la pression des exploitants agricole... béton et cultures intensives fruitières ou viticoles remplacent petit à petit les vergers.
       Pour conclure, l'entretien et la conservation d'espèces anciennes ou non dans le verger familial demandent aujourd'hui une attention sans relâche donc un travail suivi et régulier.
.
Le point en 2014 du verger familial des collines sous Vosgiennes de Soultz-les-Bains 67.

A notre époque, notre verger familial peut-être un bon exemple, transmis aux enfants par nos parents, il illustre bien l'évolution des vergers en milieu rural. En effet, la deuxième génération que je représente s'efforce toujours tant bien que mal de maintenir en l'état le verger. Chaque année, aux rythme des saisons, différents travaux d'entretien se répètent et se suivent, de petites améliorations sont effectués assez régulièrement afin de pouvoir mieux accueillir la famille ainsi que les amis. Ainsi par exemple, après la toilette sèche de l'an dernier, nous continuons les aménagements. A été mis en place au printemps, un jolie portail et une clôture discrète, nos amis canins pourront ainsi courir d'ici la fin de l'année ou bon leur semble. Nous avons aussi élargi et consolidé l’accès au verger par de dessus le fossé communal afin de faciliter le passage d'un camping car, même par mauvais temps... De jeunes arbres fruitiers ont été plantés en remplacement de ceux qui ont été détruit par la tornade de l'an dernier, des plantations d' ornementales à feuillage persistant s'ajoutent à la liste des espèces déjà en place ... A savoir que prochainement, la remise en état du muret en pierre sèche à l'arrière du verger ne sera pas une simple affaire... Comme quoi, tout se transforme avec le temps, et le verger devient petit à petit jardin d'agrément... A suivre...

                                                                Fondation portail

              Fondation accès au verger                                              
                                                      Revêtement béton 4 saisons
                
                                                              Passerelle en bois


vendredi 1 novembre 2013

Mais alors que fait le jardinier en novembre ?

Nos arbres en novembre.
Pour les arbres de nos petit jardins ou vergers, c'est le temps de repos. L'automne déjà bien entamé joue encore à l'alchimiste; tout ce qu'il touche, il le peint encore en vieil or, en rouge écarlate, ou en brun cuivre... Au mois de novembre, on pourra encore observer des floraisons tardives, comme l'aster de la Toussaint, qui cligne encore de ses yeux lilas, le rosier se manifeste encore par ses dernières fleurs. Reine des fleurs, tu as fleuri durant six mois; noblesse oblige. Les sauvages se manifestent aussi encore comme l'Achillée millefeuille, première de l'alphabet mais aussi dernière à dresser sa frêle silhouette. Le froid arrive tout doucement, de soudaines pluies bruineuses ou battantes, doublées de rafales fouettantes, peuvent, du jour au lendemain, décoiffer les arbres et arbustes de leur dernière parure. La désolation remplit le paysage qui se montrait encore si généreux les mois précédents. La course du soleil diminue de jour en jour, et comme on dit, la nature s’apprête pour son sommeil d'hiver, la parade est donc bien terminée. Le solstice d'hiver qui marque l'entrée d'un nouveau cycle et donc pour bientôt...


Mais alors que fait le jardinier en novembre ?
Le jardinier, en ce mois de novembre, est confronté à un changement de rythme et de travail.
Ce changement dans nos habitude et en fin de compte propice pour se ressourcer.
Mais il ne restera pas pour autant inactif. Il met à profit cette saison pour labourer, bêcher les
plates-bandes, débarrasser, arracher, entretenir et mettre à l’abri des premières tempêtes son matériel...C'est aussi l'époque des transplantations et des plantations d'arbres fruitiers arbustes et vivaces. Les arbres plantés dans de bonnes conditions avant l'hiver, ont une meilleure reprise que les arbres plantés en mars-avril. N'oubliez pas de placer un tuteur pour les tiges ou demi-tiges ainsi que la fumure de fond (compost bien décomposé et quelques poignées d'engrais P-K, potasse- phosphore), qui facilitera la reprise. Les racines blessées par l'arrachage seront raccourcies proprement au sécateur. L'arbre bien en place, le point de greffe dépassant du sol, important s'il y a greffe, sera ligaturé en forme de huit au tuteur. Nous pourront également déposer au pied des arbres le compost. Important, une date essentielle à connaître le 25 du mois de novembre: A la Sainte Catherine, tout bois prend racine, c'est donc le moment propice pour la multiplication végétal par bouture. Les tailles des arbres sont déjà possible à partir du moment qu'il ne fait pas trop mauvais dehors. N'oubliez pas non plus de protéger les espèces sensibles au froid et au gel par des branches de conifères ou bien par un textile adapté à cet usage. Une fois que tout est nettoyé et rangé, le calme peut s'installer dans nos petits jardins ou vergers, mais il faut quand même y faire un tour de temps en temps, pour vérifier son état, chutes de branches, parfois chutes d'arbres, parfois actes de vandalismes à la mode et fréquent de nos jour...
Conclusion
L'automne, puis l'hiver, sont des moments propices pour mettre au point des innovations qui pourront être mises en pratique des le retour des beaux jours. Comme dans tout autre domaine, il faut la pratique sur le terrain et la réflexion, et c'est ainsi que rien ne doit être négligé pour mieux maîtriser notre activité et la faire prospérer d'avantage. La lecture s'impose pour enrichir vos connaissance. Je vous conseil de lire notamment, «l'année du jardinier»de Karel Capek; sous forme d'almanach, Capek observe avec humour et tendresse les manie du jardinier. Génial !
Enfin, la lecture de mes guides sur les aromatiques et médicinales de la liste autorisée par la pharmacopée française, (Vol.1 Plantes aromatiques et médicinales sauvages téléchargeable en version PDF sur mon Blog.Lien=https://drive.google.com/file/d/0B0LVwwLpbF5RSWRMdFZ3T3FQdjQ/edit?usp=sharing).



samedi 5 octobre 2013

Le cri du jardinier arboriculteur

LA LUTTE PRÉVENTIVE DES FRUITIERS ET ROSIERS EN AUTOMNE .


Au début de l'automne, le temps frais et humide, incite la grande majorité des insectes ravageurs à entrer progressivement en hibernation. Les champignons parasites aussi arrêtent leur expansion.
Mais pour autant, le cycle évolutif (œuf, larve, adulte) des uns et des autres leur permet de redémarrer au départ de la végétation, au printemps prochain.
En automne, le jardinier arboriculteur peut encore intervenir pour lutter contre les maladies essentiellement cryptogamique ou bactérien. Son arme ? Les produits à base de cuivre minéral.
En effet, au moment de la chute des feuilles et après, les traitements cupriques constituent des interventions importantes dans le domaine de la protection phytosanitaire des arbres fruitiers, ainsi que de certaine plante ornementale, je pense particulièrement, aux rosiers souvent sensible au maladie cryptogamique, (tache noire pour le rosier…).
Important  : Dans les espèces fruitières, pépins ou noyaux, certaines résistent plus ou moins aux maladies, d’où à mon sens, l'importance du bon choix du porte greffe, en fonction du terroir et du climat... A savoir aussi, que la contamination des fruits et du bois des uns aux autres se fait par les tailles et les piqûres des insectes , les guêpes principalement et les mouches...





1) LES TRAITEMENTS CUPRIQUES .

La lutte préventive contre les maladies à l'ensemble des espèces fruitières, telles que :
  • -la moniliose
    -la tavelure
    -la cloque du pêcher
    -le chancre bactérien
    -le dépérissement bactérien du pêcher.
    -Etc...
Stratégie de lutte pour l'ensemble des espèces fruitières pépin et noyau en pulvérisation foliaire:
Deux à trois traitements, au début et aux 2/3 de la chute des feuilles.
Dosage cuivre métal par hectolitre d'eau: 150g /hl.

  1. LE TOILETTAGE DES ARBRES 
Pour renforcer l’efficacité  des traitements à base de cuivre, ne surtout pas négliger les mesures
prophylactiques en effectuant :
  • le ramassage des fruits malades ou non, sous les arbres,
  • la récolte des fruits momifiés,
  • l'élimination des pousses desséchées ou porteuses de chancres,
  • le masticage des plaies de taille importantes, avec un cicatrisant,
  • le ramassage des feuilles mortes aux pieds des arbres, les éliminées en les brulant.


       
                                                                     La moniliose

3. Les traitements à base de plantes:


-Pulvérisation foliaire de Prêle.